Contrairement à une pénurie, une surabondance de vanadium est légèrement plus courante. Ce phénomène est associé à la production d'asphalte, de verre et de carburant. Le fait est que c'est lors de la création de ce produit qu'un oligo-élément est utilisé.
Le plus dangereux est le type de composant contenu dans les vapeurs d'essence et de mazout. Il pénètre facilement dans le corps humain à partir d'émissions toxiques. Une fois à l'intérieur, le vanadium des vapeurs peut endommager le système nerveux et perturber la tension artérielle.
Si une surabondance de vanadium dans le corps est causée précisément par une production nocive ou une situation environnementale défavorable, de graves perturbations du fonctionnement des systèmes du corps peuvent survenir.
Les travailleurs de la production sont souvent confrontés à divers processus inflammatoires qui affectent les voies respiratoires, la peau et les muqueuses des yeux. Dans les cas les plus graves, l'asthme, l'anémie et la dermatite et l'eczéma sévères peuvent survenir.
Pour faire face à une quantité excessive de vanadium dans le corps, il est nécessaire d'utiliser de l'acide éthylènediaminetétraacétique, ainsi que des préparations contenant du chrome, qui ont la capacité de neutraliser les effets de l'empoisonnement.
Les médecins pensent que c'est à cause de l'augmentation de la quantité de vanadium dans le corps que se produit la genèse des états maniaco-dépressifs et de la dépression névrotique réactive.
Une surabondance de vanadium peut conduire à une sclérose en plaques, car les complexes liposolubles de vanadium d'origine technogénique s'accumulent dans les gaines de myéline et dans le cortex cérébral.
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